Tout n’est pas toujours rose pour les femmes en affaires. Parlez-en à Marilou! L’entrepreneure derrière Trois fois par jour a pris un moment pour répondre aux questions de ses abonnés, déboulonnant quelques mythes communs à son sujet : comment elle garde ses murs plus blancs que blancs (elle les lave), les secrets derrière son fil Instagram immaculé, mais aussi, les accusations de plagiat.
L’entreprise s’était retrouvée au centre d’une controverse l’année dernière quand une recette extrêmement similaire à celle de Geneviève Everell, alias Miss Sushi, avait été signée Trois fois par jour. Celle qui accueillera bientôt son deuxième bébé avec son nouvel amoureux a répondu à ses détracteurs dans une story Instagram démystifiant le travail impliqué dans la création de ses recettes : « Les gens qui m'accusent de plagiat pensent que je fais tout toute seule. Et ce serait irréaliste. Avec des magazines, un site, des livres, une vie, quoi! J'ai deux chefs à temps plein avec qui je travaille au développement des recettes maintenant. Et je ne m'ennuie pas du temps où je faisais tout, toute seule. J'étais sur le point de mourir en dessous d'une montagne de vaisselle à chaque instant. J'apprécie qu'on se challenge et qu'on se stimule créativement les trois ensemble pour chaque projet/recette. Elles sont bonnes pour filtrer et donner vie à mes idées bizarres. Bien s'entourer, c'est la clé ».
Qu’à cela ne tienne, Trois fois par jour poursuit sa domination culinaire. Le troisième livre de l’entreprise, qui se concentre cette fois sur les desserts, passera des presses aux tablettes au courant du mois d’août.
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